Boris Tavernier – Du vrac et des histoires

Boris Tavernier est à l’origine de l’association VRAC. On m’en avait parlé ici et là, mais avant de le rencontrer, je ne pouvais imaginer la richesse des histoires qu’il garde en mémoire. Il a d’ailleurs contribué à en raconter certaines dans le magnifique ouvrage Femmes d’ici, cuisine d’ailleurs, écrit avec le prix Goncourt Alexis Jenni….

Shahirul Hanafiah – Refugee Food Festival

Shahirul est chef et chimiste à la fois. Pour lui, les formules sont comme des recettes. Pourtant, c’est quand il parle de cuisine que ses yeux pétillent. Tout jeune garçon, alors qu’il vivait en Malaisie, il est tombé dans les casseroles de sa maman qui tenait un restaurant et n’en est plus jamais ressorti. Shahirul…

Rania Albitar Hadad – Refugee Food Festival

« En peu de temps parfois on fait bien du chemin. » Ce n’est pas de moi, c’est Molière qui l’a écrit. Et Rania le prouve. Quelques temps après avoir quitté sa Syrie natale, elle a lancé son service traiteur pour faire découvrir, à travers ses spécialités culinaires, l’histoire riche mais méconnue de son pays. Vous…

Samer Fallaha – Refugee Food Festival

Pour Samer, les opportunités doivent être saisies en plein vol ! Il a soif d’apprendre et faim de découvertes professionnelles, humaines ou culinaires. Au bout de quelques mots seulement, on mesure la détermination et l’optimisme du cuisinier syrien. Et puis il y a un sourire, une voix douce et une main tendue aux autres. “Le Refugee…

Aïcha Mahamet Seid – Refugee Food Festival

Aïcha, c’est une infinie douceur, un sourire franc et des yeux qui pétillent. La chef d’origine tchadienne qualifie sa cuisine de généreuse et on comprend que c’est à son image. Elle affirme que la cuisine est un langage universel, un moyen de partager et découvrir. Elle aimerait ouvrir un jour son propre restaurant pour proposer…

Sadia, cuisinière d’ici et d’ailleurs

Quand Sadia se raconte, on sent le cumin, la menthe, la coriandre. On sent l’enfance heureuse dans un Afghanistan libre. On sent l’odeur des bolanis préparés par la mère. On sent le déchirement. Puis on sent la rancœur. Et enfin, on sent la paix quand vient la transmission. On sent la nostalgie, douce et mélancolique….